Silent Hill 2 REMAKE – Toutes les énigmes, puzzles, code de porte & cadenas (Soluce & Guides)

Il s’agit de l’énigme la plus difficile du jeu. Il s’agit de 6 poème que vous devez compléter. 

Pour chaque poème, les textes changes en fonction de votre difficulté ET pour chaque poème il existe 2 possibilités. Autrement dit la solution sera différentes entre les joueurs. Voici les possibilités : 

• Poème 1 : 

• Faible :
  C’était la demeure du mal,
  il fallait la raser. 
• Standard : 
  Je les ai regardés brûler, je les ai entendus pleurer,
  j’ai ressenti une chaleur apaisante à l’intérieur.
  C’était si bon, je ne peux pas mentir,
  et pour mon bonheur, ils ont dû mourir.
• Élevée (deux possibilités) :
  • La mort de l’innocent, un péché damnable,
    Tourmenté par la culpabilité, son âme se dessèche de l’intérieur,
    Pourtant, parmi les purs, les vils habiteraient aussi.
    Démons vêtus de piété, ils ont péri aussi.
  • Un frisson tordu danse sur sa colonne vertébrale,
    Alors que leurs âmes s’envolent sur le soupir de Thanathos.
    Aucun signe de regret, pas une pointe de culpabilité,
    Mais une envie ardente de détruire ce que Dieu a construit.

• Poème 2 : 

• Faible : 
  voler non pas pour manger,
  mais pour assouvir sa propre cupidité.
• Standard : 
  • La raison, si je dois le dire,
    était de survivre un autre jour.
    Pour eux, c’était une miche de pain.
    Pour moi, un pas en avant chéri.
  • Quelles étaient ces raisons, pourriez-vous demander,
    que la vérité me permette de démasquer.
    Je vois. J’ai envie. J’ai besoin. Je prends.
    C’est tout le sens qu’il faut pour que cela ait lieu. 
• Élevée 
  • avec des mains tremblantes, il saisit ce qu’il doit,
    une danse misérable, alimentée par la poussée de la faim.
    L’étreinte de la pauvreté alimente ses méfaits,
    volant pour survivre, le plus élémentaire des besoins.
  • son avarice motive chaque vol astucieux,
    aucune conscience ne s’éveille, aucun remords ne reste.
    Pas une sensation de faim, ni un besoin désespéré,
    mais un cœur consumé par une cupidité implacable.

• Poème 3 : 

• Faible : 
  dans un accès de colère,
  il lui a infligé une fin sanglante.
• Standard : 
  • Pardonne-moi, enfant, car j’ai échoué,
    À te sauver de ses misérables voies,
    Celle que j’ai aimée, qui t’a donné la vie,
    Un monstre qui se cachait à la vue de tous. 
  • Ma fille unique, joie des jours,
    Ils ont voulu t’enlever.
    Tais-toi, petit bébé, et tais-toi.
    Si je ne peux pas t’avoir, personne ne le fera. 
• Élevée :
  une réalisation tragique, le désespoir d’une mère,
  son héritière détruite par celui qu’elle aimait autrefois,
  en vérité, ce n’est pas l’amour qui a guidé son étreinte,
  mais une avarice malveillante qu’on s’efforce de saisir. 

• Poème 4 : 

• Faible : 
  un endroit de plus à piller,
  un gain injustifié de plus.
• Standard :
  • Ma culpabilité est donc évidente,
    j’ai dévalisé la pharmacie.
    Pourtant, je ne l’ai pas fait pour le gain,
    mais pour pouvoir soulager la douleur.
  • je suis parti en toute hâte,
    ne laissant aucune trace,
    toujours fidèle à mon credo,
    tout est juste ce qui nourrit ma cupidité.
• Élevée :
  • Au milieu de la lueur de la lune, une vérité désespérée,
    La vie de l’homme faite de souffrance et de péril, en vérité.
    Scellé entre ces murs, son salut repose,
    Voler et continuer à vivre, le prix ultime.
  • Sous l’apparence éclairée par la lune, le dessein d’un méchant,
    Il s’aventure là où les trésors brillent de mille feux.
    D’une main égoïste, avec la cupidité comme credo,
    Réclame le butin, satisfaisant chaque besoin

• Poème 5 : 

• Faible : 
  il l’a fait juste pour le plaisir,
  et non par conflit
• Standard :
  • Tu m’as cassé les jambes, je ne pouvais pas marcher,
    Tu m’as arraché les dents, je ne pouvais pas parler.
    Tu m’as donné des pilules pour ralentir mon esprit,
    J’ai pris ta vie avant de prendre la mienne.
  • Tu as été, oh, si gentil avec moi,
    Tu as rempli mon cœur de joie et d’allégresse.
    Au final, ce fut pour rien,
    « Pourquoi, oh, pourquoi ? », demandes-tu. Pourquoi pas ?
• Élevée : 
  C’était un destin tordu qui a forcé la main de l’homme,
  Un fils à la merci de sa mère, sa vie en enfer qu’il passerait.
  En vérité, tous les meurtres ne sont pas des meurtres de mauvaise volonté,
  Car le choix était clair, c’était elle, ou lui.

• Poème 6 : 

• Faible : 
  Il s’est retourné contre son agresseur,
  a transformé son cerveau en paillis.
• Standard : 
  • En vérité, il était moins un homme qu’une bête.
    Et de ma chair et de mon âme, il se régalait.
    Ma volonté de vivre, il essayait de la briser.
    Il y a tant de choses qu’un homme peut supporter.
  • En vérité, je n’ai pas hésité,
    Alors que ma lame scellait le destin du pauvre homme.
    Il connaissait les règles, elles sont très claires,
    Va contre moi, ta fin est proche.
• Élevée : 
  les yeux de la victime s’écarquillent de terreur et d’effroi,
  la nature de l’agresseur apparaît alors au grand jour.
  Sa cause est vicieuse et entachée d’une fierté sombre,
  une démonstration de force brute, à laquelle tous doivent se soumettre.